dimanche 4 août 2013

Dimanche 4 août 2013 - OUZBEKISTAN : De Samarqand à Tashkent

Visite de Samarqand le matin puis trajet Samarqand-Tashkent. Départ 16h30 arrivée 21h30 soit 5h de trajet. Toujours pas de débit pour uploader les photos...

Le matin, on part se balader dans la ville. Samarqand est plus aérée que Boukhara, avec de grandes avenues et des espaces verts à tous les coins de rue, et n'a rien à envier coté monuments ! On retrouve nos madrasas, mosquées et autres mausolées (dont celui de Tamerlan ! Vous ne savez pas qui c'est ? wikipédia, les amis). Le Petit Futé donne des explications toujours plus embrouillées sur l'histoire de la ville, on regrette un peu de ne pas avoir un guide de meilleure qualité.

La chaleur est toujours plus écrasante, on est bien content de retrouver l'ombre de la cour de notre guesthouse. Un repas de fou préparé par la gérante nous attend. Après la petite salade tomate-concombre-coriandre (après une prière au grand dieu de la tourista), le plov (riz sauté à l'agneau et aux carottes - les carottes ouzbekes sont incroyables soit dit en passant), la pastèque (encore une prière au dieu ci-dessus) et le thé vert, on finit tous à moitiés assommés sur la banquette.

Mike et Nadja vont quand même à la recherche d'un cyber-café pour imprimer les documents pour le visa. On en trouve un pas trop loin, qui est un repaire de mômes jouant à World of Warcraft (universel !). Après avoir rempli les formulaires, on s'aperçoit qu'adobe reader n'est pas installé sur l'ordinateur... Really ??? On se dépatouille difficilement avec des logiciels open source légers (impossible de télécharger adobe reader avec le débit de limace du cyber café) on se retrouve avec nos impressions toutes pourries (l'imprimante n'était pas non plus de haut vol). Ca nous aura pris 2h pour obtenir 7 pages A4.

Départ illico pour Tashkent. La route est meilleure et le trajet se fait sans problème. Quelques inquiétudes lorsque la nuit tombe, car les charrettes qui roulent sur l'autoroute deviennent presque invisibles. On a envie de s'arrêter à chaque fois pour donner des gilets jaunes aux gars avec leurs ânes.

Juste avant d'arriver dans la ville, on est arrêtés par des policiers. Apparemment, l'entrée de la ville n'est pas possible pour les étrangers sans autorisation à cause de certaines festivités nationales en cours. Ils nous demandent le nom et le numéro de téléphone de l'hôtel où on compte séjourner. Après avoir appelé, ils nous annoncent que le gérant de l'hôtel va venir nous chercher pour nous escorter. Pratique. Ca confirme notre impression générale, les ouzbeks sont plutôt sympa.

L'info du jour du policier ouzbek : Le policier nous explique que le diesel serait maintenu artificiellement cher en Ouzbékistan pour ne pas que les stations services coupent leur essence avec.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire